• 18 février

    Mon patron m'avait demandé d'assister au vernissage d'une nouvelle artiste dans une galerie qui a toujours des milliers d'idées pour tenter de nous voler notre marché. L'espace avait été réaménagé depuis mon dernier passage. Un petit salon-café ouvrait l'espace vers la salle d'exposition. Les œuvres installative étaient jonchées de LED qui était presque la seule source de lumière dans l'espace. L'atmosphère tamisée était fors réussi, malgré un travail ordinaire. Dans la foule bigarrée, j'ai reconnu quelques clients chez nous, dont Mrs Madère qui est venue rapidement et chaleureusement me saluer.

    Quelques verres de vin et conversations plus tard, je suis retrouvé dans le salon bondé ou régnait une énergie à la fois calme et festif, là Mr Madère m'invita à me joindre à sa table. Les chaises étant occupées, il me présenta à la blague c‘est genoux. J'ai accepté. La table était composée d'avocat, et d'homme d'affaire venue voir cette expo de la saveur du mois. Les discussions étaient conviviales et les mains baladeuses. Mes hôtes semblaient prendre plaisir à voir Mrs Madère caresser les cuisses, leurs regards semblaient déjà anticiper l'ascension. Mrs Madère et moi avions déjà eu des rapports quelque peu partiels, mais quand même plus qu'amicaux. Lorsque ses doigts firent contact avec ma chatte dénudée, j'étais déjà mouillé. Pour lui faciliter la tâche, j'entrepris quelques oscillations du bassin pour caresser ses doigts immobiles. Discrètement, je prenais plaisir devant un auditoire plus ou moins conscient de l'intensité du moment.

    Puis, je me suis levé pour me rendre aux toilettes, un mauvais mixe de vin et caresses. Alors que je m'apprêtais à refermer la porte derrière moi, apparut le directeur de la galerie qui força son entrée. Une fois tous les deux à l'intérieur il barra la serrure et entreprit de m'embrasser. Je l'ai repoussé, puis me suis installé sur les chiottes pour uriner. Il me regarda sans me parler assise, jupe relevée. Avant même que j'aie la chance de m'essuyer, ils me lèvent pour me mettre le visage contre mur, son pantalon était déjà ouvert et il me pénétra d'un coup sec. Il me murmura à l'oreille un truc du genre, on va voir si c'est vrai ce qu'on raconte. Après quelques coups, il s'arrêta pour mettre un condom et reprit la charge. L'adrénaline était à son maximum, j'ai sans hésité débuté une masturbation. Puis, il me tourna pour me pencher sur la toilette, ou j'avais pour seul appui le contour du bol. Il s'offrit ainsi mon cul dans un acharnement effréné. Puis, il est venu. On a quitté ensemble pour se disperser dans la foule.

    Je retrouvais ma paire de genoux pour le reste de la soirée. Toujours assis sous des mains curieuses, j'étais en flamme. La soirée appelait au débordement la salle était immergée d'une énergie indesciptibible, la jeune artiste et ses amies étaient sollicitées par un de nombreux prétendant, de vieux mâles rajeunis par le plaisir de la chasse. Je regardais chaque détail du spectacle, oscillant toujours le bassin. Plus tard, j'ai quitté le vernissage accompagné d'un avocat, qui s'est tapé le clou de la soirée.

  • Commentaires

    1
    Jeudi 29 Mars 2007 à 17:26
    La chute ...
    est jolie nonobstant
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