• Je suis arrivé à son condo vers 21 :00. Une fois à l'intérieur j'ai vu que tout était prêt.
    Il m'a retiré mon manteau, puis m'a pris la main pour m'amener au milieu du salon. Il m'a baillonné, bandé les yeux et attaché les mains de ses menottes en cuir. Puis il m'a couché sur le sol.
     
    Je l'entendais s'activer sur son portable et discuter avec les gens en ligne. À la demande d'un cybervoyeur, il a relevé mon gilet pour dévoiler ma poitrine, profitant de quelques pincées au passage de mes mamelons. Il aime bien me voir réagir... Il leva ma jupe et baissa mon bas collant pour se frayer un chemin en moi...
     
    Des encouragements des 3 ou 4 cybervoyeurs, il introduit une bouteille de bière tout juste terminée en moi. Le va-et-vient était incessant et les voix, âpres et crus. Il sait que j'y prenais plaisir d'être là, victime et volontaire. Il en profitait bien sûr pour pincer et me gifler qu'il accompagnait d'injure. Mon plaisir montait, il le savait. Et d'un coup sec, il entra la bouteille dans mon cul. C'était le signe... Il m'ordonna de me caresser, ce que je fis de mes mains liées, une bouteille en moi et gifles au visage.
     
    Je les entendais m'accabler d'un vocabulaire sommaire. Puis, je discernas son pantalon s'ouvrir et tomber. D'une main il me pinçait et de l'autre s'astiquait. Aux rythmes des cris d'encouragement et de mon souffle voilé de mon bâillon,  il s'exclama sur ma poitrine d'un rauque gutturale qui résonna en moi pour me porter à l'orgasme.
    Encore en spasme, je sentis la cam frôler mes seins aux plaisirs de mes voyeurs
     
    Je suis parti vers 21:45, pressentant déjà notre prochain rendez-vous.

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  • Il m'en avait glissé un mot au début de la semaine. Nous étions invités à une soirée chez un client de la galerie. M. Y (nom fictif) est un mécène important au pays, richissime il aime bien faire parler de lui et d'offrir à ses nombreux amis des soirées extravagantes dans sa maison victorienne de Westmount.

    Mon patron avait tout prévu pour moi, comme il aime bien le faire. Il est arrivé en fin d'après-midi au bureau avec une robe griffée et son costard. Il me donna le nécessaire pour m'habiller talons, bas-collants et cette robe; à peine un tissu pour couvrir quelques partis de mon corps, à la fois somptueux et très révélateur. Un tissu noir très fin semi-transparent. Enfin, j'étais presque qu'habillé, mais sans être nu. Mon patron avait fait un choix judicieux. Avance de mettre son costard, il me demanda de pencher sur la table de travail, et comme à ses habitudes il leva ma courte robe et me pris. Il aime bien m'humectée avant de sortir en soirée, selon lui ça me rend plus réceptive et docile. Et il aime bien l'idée qu'il coule en moi toute la soirée.

    Après s'être habillé, on a sauté dans un taxi pour Westmount. M. Y accueillait ses invitées au pied de la porte, nous étions une 40taines de connivents pour le souper. La soirée était agréable quelques clients de la galerie y était, mais surtout plusieurs autres pourraient le devenir. C'était surtout une foule d'hommes d'un certain âge, très peu était accompagné, sauf s'il s'agissait de jeunes compagnes, visiblement pas leurs conjointes. Ma robe fessait sensation si j'en jugeais le regard satisfait et complice de mon patron. Ce qui me rappelait que sous certains jets de lumière on devinait très bien ma nudité sous le mince filet de tissus.

    Une fois attablée pour le souper, on m'assoit entre un ami de la galerie que je connais très bien et  à ma gauche ce qui semblait être un invité d'honneur ou enfin un mek important qui était invité pour la première fois chez Mr Y. Il semblait fébrile et très heureux de m'avoir à ses côtés. La conversation était agréable (et en anglais!), mon voisin de droit s'amusait à me caresser les cuisses, alors que mon voisin que gauche tout en me parlant avait peine à me regarder dans les yeux... cette robe, finalement mon patron a vraiment l'œil...

    Après le repas, d'autres invités se sont joints à la soirée. L'alcool aidant j'étais rarement laissé pour compte, évidemment ils étaient de plus en plus collants. Et plus on s'engageait dans la nuit plus les caresses maladroites et timides devenaient précise. Des caresses de mes seins, de mes fesses au doigt forçant leur entrée en moi.

    Puis soudainement, en regardant le foule je remarquais la présence de jeunes filles, minuit devait approchés...

    Mon patron est venu me cherche pour m'amener avec lui dans une pièce à l'arrière de la maison. En pénétrant dans le petit salon feutré, je vis un petit groupe d'hommes attroupé autour d'une jeune fille couchée nue sur la table basse à qui on introduisait un gode. Le mouvement violent s'accompagnait de murmures et bruit de bragues. Puis, on mit la jeune fille sur ses genoux et un premier convive se présenta derrière elle. La tension dans la salle était palpable et je sentais les mâles se resserrer autant sur la jeune fille que sur moi.

    La soirée débutait...



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  • Hier, j'ai passé la soirée chez des amis. Des artistes dont Danis qui cherche toujours a rentré sous l'aile de ma galerie. On était cinq, Danis et sa très jeune copine, Jorge et sa compagne et moi. Après un bon repas et quelques bouteilles, la soirée s'échauffait Danis était toujours aussi collant même devant sa copine. Il m'a déjà prise par le passé, mais là je trouvais la situation inconfortable devant l'autre couple et sa copine. Il s'amusait à me caresser les jambes, lever doucement ma jupe, alcool aidant. Malgré tout, la soirée était agréable, discussion, etc.

    Plus tard, Jorge se mis de la partie, dans un coin de la cuisine à l'écart du regard des autres au salon, il s'est jeté sur moi pour d'aborde  me caresser amicalement et glisse sa main sous ma jupe, je crois que les caresses de Danis avait laisse entre voir l'absence de petite culotte. Les doigts me caressant l'extérieur des lèvres, il m'embrassa. Puis c'est doigts me pénétra. Danis entra dans la cuisine et fut saisi du spectacle. Jorge cessa son jeu pour retourner au salon, en tapant Danis sur le ventre en passant. Et Danis, me dit vachement : ‘'tu vois ta réputation te suis''. Offusqué, je suis retourné rejoindre le groupe au salon. Vers 1 heure toujours un peu fru des commentaires de Danis, j'ai prétexté une fatigue pour quitter.

    Alors Danis, s'est offert pour me raccompagner. Je reste qu'à 10 minutes de marche de chez Jorge. Tous semblaient trouver ça de circonstance et galants, nous sommes sortis. Une fois sur la rue, Danis s'est excusé pour son commentaire. En marchant, il me prit par la taille et m'a amené dans une ruelle pas très loin de chez moi. Puis il m'a accoté face au mur, puis ouvert son pantalon. Il m'a pris dans la ruelle au froid et en quelques coups il vint dans mon cul. Il m'a embrassé puis on s'est quitté.

    De retour dans mon loft, j'ai ouvert mon ordi et ma cam. Je me suis caressé devant ma cam ouverte à des contacts sur mon MSN, j'étais inondé de sperme qui sortait de mon anus, que j'utilisais pour caresser mon clito et pénétrer ma chatte. J'ai joui au son des commentaires de mes cybervoyeurs.


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  • J'ai reçu son appel en début de soirée.
    Il y avait au moins 2 mois que mon texan n'était pas venu à Montréal. Il
    m'attendait comme à l'habitude au Wunderbar du W-hôtel. C'est un bon client de
    la galerie, je me suis dépêché. J'ai enfilé une robe assez class malgré qu'elle
    soit courte, avec un décolleté légèrement révélateur, bas collant et talons.





    Il m'attendait à la table habituelle, au
    fond offrant à la fois discrétion et vue sur le reste de l'établissement. Il
    m'accueillit avec une bise et m'offrant une chaise. Une fois attablée, il
    glissa, sa main sous ma robe pour vérifier si je portais une culotte.
    Satisfait, il termina son verre et m'invita à sa chambre.





    Il me jeta sur son lit dès notre arrivée
    et se déshabilla. Prise par les cheveux, il offrit ma bouche à sa bite en
    semi-érection. Comme tous les hommes de son âge (50taine), bien en chaire, ma
    tête se heurtait à chaque coup à son ventre et le fond de ma gorge à sa bite.
    Dans ce va-et-vient intense, au rythme de ses râles je me sentais mouillé. J'accompagnais
    son plaisir en me caressant.





    Il projeta sur le lit face dans les
    draps, et m'ordonna de me caresser pour lui. Puis, il s'allongea sur moi leva
    ma robe pour me prendre. Sous son poids, je m'offris à chaque coup. Les cheveux
    tirés entre doigts je le sentis venir en moi. Il se retourna pour me regarde me
    caresse de ma mouille et de son sperme. Me traitant de tous les termes
    vulgaires du vocabulaire américain, j'ai joui. Puis, après il ma montrée la
    porte, à peine remise de mes émotions et la chatte dégoulinâtes.





    Dans le taxi, j'ai peine à tout garder en moi. Une
    fois à mon loft je me suis jeté sur le lit et me suis masturbé frénétiquement.


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