• 5 à 7 (complet)

    Évidemment, l'expo était à chier, d'ailleurs on n'a presque rien vendu. Donc pour terminer l'année, le patron a mis sur pied ce petit 5 à 7 improvisé pour tenter un dernier coup. Avec les fêtes et toutes les célébrations qui ont cours, on était que très peu. Pour l'occasion, il m'avait offert une robe argentée saillante décolletée jusqu'au nombril et jusqu'au bas du dos. Sans collant et talons agencés, j'avais l'allure d'un sucre d'orge de Noël, ou d'un cadeau prédéballé.

    Dans la journée, il m'avait demandé d'appeler une liste d'invitées pour confirmer personnellement leur présence. D'une voix racoleuse, je leur soulignais la particularité de l'exposition, les mérites de l'artiste, etc. Ce qui est amusant dans ces conversations est que finalement l'art importait peu.On était peu nombreux, je passais d'une invitée à l'autre pour m'assurer que tous avaient à boire. L'atmosphère était agréable et tous les regards étaient sur moi, ce qui évidemment n'était pas déplaisant. Les quelques caresses au passage des invités m'allumaient tranquillement. Comme certains me connaissaient très bien, la galerie semblait plonger un suspense coquin... dans l'attente...Puis, un bon client fit son entrée vers les 18 h. Un vieux misogyne, gros et gras qui parfois en public et toujours en privé se plaisent à m'humilier. Là, j'ai senti un pincement en moi... ceci allait être l'élément déclencheur. En bonne hôte, je l'accueillis avec un verre de vin, qu'il prit sans même me regarder. Et il joint les convivents. 19 h, certains invités quittes déjà, la petite soirée semblent déjà se conclure. Mon misogyne, ne m'a toujours pas adressé la parole. Mon patron, me demanda à l'oreille d'aller cherche à l'entrepôt un catalogue d'un autre artiste pour un client. Avec un sourire en coin, je m'exécutai rapidement. Mais à l'entrepôt rien, personne ne m'attendait...Puis, retour en galerie. Les lumières avaient été tamisées et la porte d'entré fermé. Sous le regard amusé de mon patron, 4 mecs m'attendaient ...

    Mon vieux misogyne c'est approché de moi. Il m'a vulgairement empoigné la chatte pour confirmer aux invités ma moiteur. D'une forte poigne, il me saisit les cheveux pour me forcer à genoux, leva ma robe et m'ordonna de me caresse le cul pointé vers l'audience. Je m'exécuta sans hésiter. Il s'aguenouilla pour s'amuser à pénétrer simultanément de ses doigt mon petit trou pour l'ensencement du spectacle. J'étais à genoux me masturbant sous le jougue d'un vieux pervers devant une galerie de gens importants.

    Puis il me pris par les cheveux pour me porter à une chaise ou sur laquelle j'ai instinctivement pris une position accroupi toujours le cul pointé, offrant une prise invitante sur mon petit trou. Qu'il mouilla de ma moiteur et de quelques crachats pour me pénétrer d'un coup. Affolée par la perversité de la scène, j'accompagnait chaques coups violents de caresses rapides de mon clito. De râles et de commentaires agressifs, il est venu en moi. Même une fois retiré, je continuais ma masturbation sentant son sperme s'échapper. L'intensité du moment me mis en transe et j'ai éjaculée à mon tour. Mon misogyne me félicita, me pris par les cheveux pour me remettre à genoux et me forcer à nettoyer de ma langue les quelques goût de fluides au pied de la chaise. Il annonça aux 3 autres mecs que j'étais prête... Il quitta aussitôt la galerie avec mon patron.

    Le premier m'apporta dans l'entrepôt pour être seul avec moi. D'un condom rapidement posé, il me baisa la chatte mon ventre posé sur la table. Le second et le dernier prirent mon cul, mon corps étendu sur le canapé comme un poupée.



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