• J'étais au bar du Godin avec Mr Madère et un client de la galerie. Après notre réunion nous avons décidé de lier cette entente au champagne. Les discussions est plutôt joyeuses mes deux hôtes étaient assez bienveillant. Mon cellulaire sonne... C'était une fréquentation qui me donnait rendez-vous dans ma ruelle. J'étais excité... Je n'avais pas eu de ses appels depuis bientôt 2 semaines, il sait que je ne refuserais rien à sa bite. Sans hésiter, j'ai pris congé de mes hôtes prétextant un truc urgent à la maison, que je serai de retour sous peu. Ma ruelle est juste derrière mon loft dans le même quartier de l'hôtel Godin. Tournant le coin, je le vis m'attendre au loin près de la brèche de ma ruelle. Il fut prompt de remarquer les quelques condoms gisant sur le sol, me traitant de pute. Après, les quelques gifles d'usage, je pris position face au mur. De ses quelques fessées, j'ai amorcé une masturbation pour m'enflammer dès sa pénétration. C'est le moment solennel que j'anticipe, l'ampleur sa bite force l'entrée de ma chatte qui l'englobe laissant quelques pincements me monter à la tête. Je suis accro à cette bite, il le sait et il était d'une agressivité déchaînée, qui me rendit à l'orgasme rapidement. À moitié dans les limbes, je me suis retourné pour m'accroupir et recevoir ses fluides en bouche. Il lança son condom parmi les autres et quitta.

    Après avoir repris mon souffle, je suis retourné au Godin. À peine assis, Mr Madère m'invita à rejoindre notre hôte à sa chambre où il m'attendait. En robe de chambre, il m'invita sur son lit. Il me fit mettre en levrette pour me prendre sans égards et sans parole. C'était la première qu'il me prenait. Après de longues minutes, il me fit allonger sur le ventre et se posa sur moi. Je le sentais à peine en moi, mais son poids sur moi était contraignant. Après de longs ébats qui me parurent interminables, il est venu, puis me laissa partir.

    Mr Madère m'attendait au bar. Comme à ses habitudes  une fois assises, il pénétra ses doigts en moi. De son sourire, j'ai compris qu'on irait chez moi à l'instant...


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  • Je sais qu'elle m'avait vu avec sa bite dans ma gorge plutôt. Nos regards se croisaient sans cesse. Nos mèches étaient sans doute déjà allumées attendant la venue du courant. La soirée était sur sa fin. L'anticipation du moment déclencheurs me rongeaient, ce serait tellement plus facile si c'était un mek. De ses cheveux noir cendré se dévoilait un visage fin et au trait eurasien à faire frémir. Elle est tout ce qui m'aguiche chez une femme, petite, mince, petit seins, pieds délicats et une chevelure noire.

    La foule se dispersait rapidement, le vernissage s'était déjà étendu au-delà des heures habituelles. Mon patron avait déjà quitté j'étais seule pour fermer boutique. Après les salutations d'usage de l'artiste et sa suite, j'ai fermé boutique. Elle n'est pas restée, elle avait disparu. Quittant, j'ai passé devant les WC... Elle était là, elle m'attendait. Elle me fit un sourire leste, puis ouvrit la porte des toilettes m'invitant à y entrer. Elle passa derrière moi et leva ma robe; I heard you were a slut, but no panties, shaved pussy and sucking cock in the girl room... D'un regard perçant, elle m'enleva ma robe et pousse délicatement dans une cabine. De sa main, elle s'engagea dans une introspection de ma chatte; How many times this pussy has been fucked here? Je lui ai répondu quelques fois... How many times have you played with this pussy here? Je lui ai répondu timidement souvent... How many times have you licked a pussy here? Jamais... Elle me força à genoux, tira mes cheveux d,une main pour porter ma bouche vers elle, et de l'autre souleva sa jupe. Un mince slip noir dissimulait sa chatte légèrement velue, elle tassa le tissu vers sa gauche pour se dévoiler. Les quelques poils taillés dissimulaient à peine ses grandes lèvres et son clito orné d'un piercing. Here something to remember next times you comes here... Je me suis plongé en elle goulûment. Je la sentais se tortiller sous mes assauts, ses doigts enlacés dans mes cheveux la scène était d'une douce violence, puis elle s'enflamma dans une séquence de spasmes nerveux et de jets impromptus dans ma bouche entrouverte. Puis, je me levai elle se colla contre moi tendrement d'un regard espiègle et d'une main dans mon entre-jambes. D'un silence complice, je me tortillais sous ses doigts avec anticipation. Je voulais venir sous ses doigts être sa possession, lui offrir mon plaisir, lui montrer ma chiennitude. Ses doigts empalés en moi, elle me chuchota à l'oreille; i'll leaves you to your little pleasure... et elle me quitta...

    À la fois en choc et profondément allumée, je me suis assis sur la toilette et j'ai débuté une intense masturbation en savourant le reste de ses effluves en bouche.


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  • On s'est donné rendez-vous dans mon endroit fétiche, derrière chez moi dans ma ruelle. La nuit tombait à peine entre chien(ne) et loup. Sans parole, les gestes se sont enchaînés rapidement comme une danse mille fois répétée, je me suis accroupi, il s'est avancé le contact fut terrassant. Il s'emblava dans ma bouche violemment, que j'ai rapidement accompagné de caresse de mon bulbe dénudé à peine voilé par une courte jupe. Voilà, comme si tout reprenait vie.  Mon corps s'enracinait encore dans ce coin de ruelle, enfin je repris mes lubies laissées en plan à l'automne. Il me leva pour me retourner et me plaquer au mur de brique. Paré d'un condom, il me prit les pieds et le cul pointé vers lui. Je le sentais s'étioler de moi, me monder, me tenailler. Le déferlement était violent et rapide, je suivais à peine la cadence de ma main sur mon vertige. Puis, quand il eu donné je me suis réaccroupi instinctivement comme si mon corps avait mémoire de geste passé. Il a becqué la semence du plastique dans ma bouche ouverte,  et j'imbibais chaque goût pour éclore vertement sous lui. Et il me laissa sans rien dire au fond de cette ruelle, ou je reprenais vie tranquillement, après la pluie. Sourire aux lèvres souillées, j'étais heureuse que le printemps soit enfin de retour.

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  • La soirée était bondée, les gens étaient enflammés les premiers jours de printemps obligent. Mon patron a quitté tôt pour rejoindre sa femme sur la rive-sud. Je me retrouvais seul dans ce lieu hostile, avec cette jupe ridiculement courte que mon patron m'avait dénichée et un top d'apparence sombre à l'avant qui découvrait mon dos jusqu'à mes reins. J'étais une victime toute désignée.

    On avait peine à se déplacer entre les tables, les gens, je me suis retrouvé au bar, avec cette jupe personne n'oserait s'asseoir. Mr Martel est venu me rejoindre, il est à mon cul depuis le début de la soirée, m'introduisant à quelques-uns de ses congressistes étrangers. Malgré sa gentillesse, je le sens fébrile en ma présence, ses gestes sont malhabiles, hésitantes. Plus la soirée, avance plus il revient à la charge ses mains arrivent finalement sur ma peau, les bras, le bas du dos et la taille. Mon patron m'avait demandé de lui être avenante, que ça femme l'avait laissé, qu'il représente de gros clients, bref un allier important pour le boulot.

    Étant une des seules femmes dans cette soirée, et probablement la seule à être en âge d'être leurs filles, on m'accostait constamment. Je commençais à être globuleuse et impatiente, quand Mr Martel revint, il semblait à son regard avoir pris son courage en mains et la mise sur l'extérieur de ma cuisse. Je lui ai souri et pris sa main pour la porter à l'intérieur de ma cuisse. Et de sa bravoure retrouver me caressa. Après quelques caresses, il m'a emmené avec lui prétextant aller fumer une clope. Dans le parking, il alluma sa cigarette et me tira derrière son SUV à peine voilé et à moitié nu je subit rapidement ses assauts, puis il ouvrit son pantalon termina sa clope, me mit à ses pieds et s'engouffra dans ma gorge. D'un empressement hardant, il renfloua ma gorge.

    Une fois relevée, il proposa de le rejoindre lui et des amis qui termineront la soirée ailleurs. Je vis dans son regard que cette offre n'était pas une simple politesse, et me rappela les consignes de mon patron et j'ai répondu d'un sourire complice.

    Plus tard, je me suis retrouvé en taxi entre deux albertains, avec cette jupe qui n'offre aucun repli, seule la noirceur me dissimulait de leur regard. Les discussions étaient cavalières, mes deux acolytes semblaient croire peu crédible mon boulot de représentante d'art. On s'est retrouvé à un hôtel sur Sherbrooke, ou mon entrée remarquée par le portier, rendait fier mes deux cowboys. Dans la suite, ils étaient une dizaine, des compliments ringards et cris d'approbations, j'ai vite compris que l'embuscade était préparée. Mr Martel est sorti de ce rassemblement autour de moi avec un collier et un laisse. J'ai reconnu les pièces d'équipement comme celle de mon patron.

    Ils m'ont mis en chienne sur le lit, ou les mains étaient tendues sur moi. Puis d'un gode sorti de nulle part, ils m'ont forcé à m'empaler devant eux. Offrant un spectacle libidineux, où gode, doigts et bouteilles de bière s'enchaînaient en moi. Lorsque le premier me tirage à sa bite déchaussé, le ton fut donné. Encore relativement saoul, j'étais accaparé de tout bord tout côté, ce qui se défilant en un immense brouhaha ou s'entremêlaient insulte, bite, flash, sperme, alcool, orgasme s'éternisa au-delà de mon indulgence.

    Le lendemain, je suis réveillé sous l'abordage d'un inconnu dans sa chambre qui s'astiquait en moi, le visage dans les draps le cul pointé, j'accommodais instinctivement chaque coup cet homme qui malgré son poids était plutôt habile et doux. Quand je l'ai senti s'armer en moi, j'ai amorcé une masturbation. Il m'a retourné pour éjaculer sur moi, j'ai le visage de cet homme d'un certain âge, et j'ai explosé en un formidable orgasme.

    Il m'a invité à le joindre au déjeuner. Douché et revampé, j'ai accompagné cet homme qui malgré sa forme aurait pu être mon grand père au resto de l'hôtel. Attabler d'autres hommes sont venus se joindre à nous. Tous le saluaient respectueusement, avec attention. On était 6 à table, et malgré sa gentillesse à la chambre, il ne m'adressait pas la parole devant les autres. À la fin, il quitta sans me regarde. Puis, une jeune femme sortie de nulle part est venue me donner une enveloppe, me disant d'un ton condescendant et british que Mr Poole désirait que je le rejoindre à 19 h ce soir en robe de soirée au bar, qu'il me remettrai ma laisse et mon collier.

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  • On s'est rejoint au Méliès. Il terminait une rencontre avec l'attachée culturelle allemande, une jeune châtaine trois fois trop grande. Elle nous a quittés rapidement pour reprendre son train vers Ottawa. Il a pris le temps de nous fixer un rendez-vous lors son prochain week-end à Montréal.  On a terminé nos martinis et sommes parti pour le Godin.

    Dans l'ascenseur, il m'a demandé dans un anglais approximatif, si j'aimais être attaché. Surpris de la question, j'ai répondu d'un sourire inhibé. J'étais en collant comme il me l'avait recommandé à demi-mot. Rapidement dans sa chambre, il m'a soutiré mon manteau, mes bottes et puis ma robe. Vêtu que de ce collant, il me guida vers le lit. Les genoux sur le bord du lit, il inclina ma tête vers le sommier et tira mes mains derrière mes genoux pour les nouer rapidement d'une cordelette. En quelques secondes, j'étais amarré le cul disposé...

    Les quelques fourmillement que je perçus derrière laisse croire qu'il préparait méticuleusement son assaut. À la fois terrifié et intrigué, je restai passive et attentive aux moindres détails qui auraient pu me laisse anticiper le dénouement. Soudainement, je sentis un jet de lubrifiant froid sur mon anus, un doigt ganté s'introduit. Il proféra quelques mots incompréhensibles en allemand, puis je sentis un mince objet s'introduire lentement en moi. Malgré sa minceur, l'avance profonde de l'objet catalysait un léger inconfort. Il me laissa ainsi quelques s longues secondes, pendant lesquelles j'ai eu droit à quelques caresses des doigts toujours gantés de caoutchoute.

    Et promptement, un liquide tiède infesta mes entrailles. Frigorifié et boursouflé, j'entendis sa commande hold!. Tous mes muscles connus et inconnus étaient soudainement sollicités pour tenir la position. Le travail était d'une intensité vertigineuse qui transpirait des quelques vagissements qui s'échappèrent de ma gorge. Oscillant quelque peu le bassin, le réchauffement du fluide se muait lentement en une ardeur qui empli tout mon corps. Il amorça de légères caresses gantées de mon clitoris, puis s'infiltra dans mon vagin. Je sentais sa seconde main astiquée son désir avec lequel il opère quelques effleurements de la plante de mes pieds disposés. J'étais dépossédé de mon corps, soumise à des contraintes invasives, mon être ne répondait qu'aux sensations inéluctables. Au moment où le rythme s'enivra d'une vitesse intenable, il me lança une seconde commande let go!. Je me suis dépouillé dans une éruption formidable où les fluides ont jaillis de tous les orifices de mon corps...

    Il me délia pour étendre mon corps harassé sur le lit. Abattu, il m'ouvrit l'entre-fesse pour introduire son membre caoutchouté dans mon intimité assainie. Dans les vapes, il me prit comme une vulgaire catin encline à tous plaisirs.

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