• On s'est rejoint au Méliès. Il terminait une rencontre avec l'attachée culturelle allemande, une jeune châtaine trois fois trop grande. Elle nous a quittés rapidement pour reprendre son train vers Ottawa. Il a pris le temps de nous fixer un rendez-vous lors son prochain week-end à Montréal.  On a terminé nos martinis et sommes parti pour le Godin.

    Dans l'ascenseur, il m'a demandé dans un anglais approximatif, si j'aimais être attaché. Surpris de la question, j'ai répondu d'un sourire inhibé. J'étais en collant comme il me l'avait recommandé à demi-mot. Rapidement dans sa chambre, il m'a soutiré mon manteau, mes bottes et puis ma robe. Vêtu que de ce collant, il me guida vers le lit. Les genoux sur le bord du lit, il inclina ma tête vers le sommier et tira mes mains derrière mes genoux pour les nouer rapidement d'une cordelette. En quelques secondes, j'étais amarré le cul disposé...

    Les quelques fourmillement que je perçus derrière laisse croire qu'il préparait méticuleusement son assaut. À la fois terrifié et intrigué, je restai passive et attentive aux moindres détails qui auraient pu me laisse anticiper le dénouement. Soudainement, je sentis un jet de lubrifiant froid sur mon anus, un doigt ganté s'introduit. Il proféra quelques mots incompréhensibles en allemand, puis je sentis un mince objet s'introduire lentement en moi. Malgré sa minceur, l'avance profonde de l'objet catalysait un léger inconfort. Il me laissa ainsi quelques s longues secondes, pendant lesquelles j'ai eu droit à quelques caresses des doigts toujours gantés de caoutchoute.

    Et promptement, un liquide tiède infesta mes entrailles. Frigorifié et boursouflé, j'entendis sa commande hold!. Tous mes muscles connus et inconnus étaient soudainement sollicités pour tenir la position. Le travail était d'une intensité vertigineuse qui transpirait des quelques vagissements qui s'échappèrent de ma gorge. Oscillant quelque peu le bassin, le réchauffement du fluide se muait lentement en une ardeur qui empli tout mon corps. Il amorça de légères caresses gantées de mon clitoris, puis s'infiltra dans mon vagin. Je sentais sa seconde main astiquée son désir avec lequel il opère quelques effleurements de la plante de mes pieds disposés. J'étais dépossédé de mon corps, soumise à des contraintes invasives, mon être ne répondait qu'aux sensations inéluctables. Au moment où le rythme s'enivra d'une vitesse intenable, il me lança une seconde commande let go!. Je me suis dépouillé dans une éruption formidable où les fluides ont jaillis de tous les orifices de mon corps...

    Il me délia pour étendre mon corps harassé sur le lit. Abattu, il m'ouvrit l'entre-fesse pour introduire son membre caoutchouté dans mon intimité assainie. Dans les vapes, il me prit comme une vulgaire catin encline à tous plaisirs.

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  • Nous sommes arrivés à sa chambre. Il prit le temps de me dévêtir de mon manteau courtoisement. Sans vraiment s'attarder à de vaines conversations il me coucha délicatement sur le lit. De son anglais approximatif, il me complimenta de la petitesse de mon corps. Son regard luisait d'un état fébrile d'excitation, je me rappelle que nos regards se sont croisés en début de soirée au vernissage au moment ou un ami avait la main sous ma jupe et que j'étais en demi-extase.

    Il caressait finement mes chevilles vêtues d'un collant noir. Puis déchaussèrent mes bottes, et entreprirent de longues caresses de mes pieds. Il semblait enivré par ses longues et intenses caresses de mes cuisses, mes jambes et mes pieds. L'alcool et ses baisers déposés sur la plante de mes pieds ont eu raison de moi, j'ai rapidement entamé des caresses sous mon bas-culotte. Mes mimiques de ses gestes ont semblé lui plaire, il monta sur moi après s'être désapé de son pantalon. Une jambe entre sa main et l'autre sur sa bite il est venu sur ma culotte dans râle intense de satisfaction. Immergé, je me suis abandonné à un orgasme intense...

    Il m'a demandé si je reviendrais demain...

     

     


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