• votre commentaire
  • On est sorti au Balroom pour danser. L'année se termine sans grands éclats. 2006 fut une année assez ordinaire. On s'amusait sur le plancher de danse habillée assez sexy, longues bottes sur jambes nues, moi d'une robe blanche courte et elle d'une jupe jeans ras chatte. Elle était superbe de ses 24 ans, et son visage d'adolescente. Tous les regards étaient sur nous. Deux jeunes filles s'aguichant sur le rythme. Les quelques badauds ont sûrement aperçu notre nudité sous nos vêtements. Surtout que ma robe et son top laissèrent très bien entrevoir la dureté de nos mamelons. Comme deux chattes en chaleur nous folâtrions en public.

    Elle aime bien être la vedette, être l'objet des regards et quand je l'accompagne, elle est toujours à la limite de la décence. Et c'est toujours moi qu'elle porte à cette limite. Elle n'hésitait pas à inviter les maraudeurs sur le plancher à s'approcher, guidant les mains de même ceux qui s'approchaient de moi sous ma robe. J'adore qu'on me caresse les fesses, elle le sait. Hier, mon cul a dû passer dans les mains de tous les mecs du bar... M'enfin.

    Vers 2hrs, on s'est attablé avec un groupe de mecs dans la vingtaine. Elle s'amusait à m'embrasser pour leur plaisir en pinçant mes mamelons ou en levant ma robe. L'atmosphère était au zénith. Puis, elle repartit sur le plancher de danse, me laissant à la table coincée entre deux blancs becs, dont un avait déjà ses doigts en moi et l'autre m'embrassait. Un peu émoustillé, j'ai sorti sa bite déjà solide de son froc. Ma bouche quitta la sienne pour saisir sa torpeur. Je sentais mon environnement s'enflammer, malgré ma concentration sur cet objectif. À peine quelques lichettes que ma copine est venue me chercher. De retour sur le plancher, elle me reprocha mes quelques coups de langue prétextant qu'elle ne voulait pas être expulser de ce bar.

    On a fini la soirée sur le plancher, avant la sortie je suis allé aux toilettes, dans la cohue de la fermeture, j'ai rencontré mon blanc bec qui me traita d'agace. Je l'ai suivi dans la toilette des hommes pour l'enfermer dans un cubicule et lui faire sa meilleure fellation de l'année. Il est venu en quelques secondes. Je suis sorti du cubicule la bouche pleine et sous les regards ahuris des 3-4 mecs présents. Ma copine m'attendait avec mon manteau, j'ai ouvert discrètement ma bouche pour lui montrer fièrement ma prise. Elle sourit et on s'est embrassé tendrement au milieu de la foule.




    votre commentaire
  • Il m'avait invité à faire du shopping. Il voulait m'habiller à son goût pour notre soirée. Après mille essais, il a choisi une jolie robe de soirée dans une boutique prisée des cours Mont-Royal. Elle offrait aux regards mon dos dénudé jusqu'à mes fesses. Il était très fier de son achat qui s'harmonisait bien avec mes bottes et un collant en filet.

    On est allé au Nuevo ou il avait réservé. Il me présenta le tabouret-chaise qui fessait dos au resto. Évidemment, c'était voulu la robe, le tabouret. Mon dos était offert aux clients, qui dans cette partie du resto était assis à des tables ordinaires et non a des tables cabarets comme nous. La vue devait être agréable.

    Entre quelques gorgées de bon vin et de quelques tapas, il s'amusait à remonter ma courte robe, caresser mes jambes, prenant soin de discrètement m'offrir en spectacle. Puis, il mit dans mes mains deux boules métalliques. Il me demanda d'aller les mettre en moi aux toilettes. Ce que je fis. De retour, j'ai du traverse le resto en entier avec à chaque pas une sensation électrisante en moi. J'avais l'impression que tout le resto me regardait. De retour sur mon tabouret sa hauteur pesait sur mon bas ventre. Tout le reste de la soirée, j'étais en demi-extase un mélange d'alcool et de spasme délicat. Offrant mon dos et quelques vacillements à mon hôte, qui s'amusait à regarder la clientèle me mirer.

    Il voulait finir la soirée chez moi. On est rentré silencieusement, pour ne pas réveiller ma copine qui squatte mon loft. On est aller dans la chambre de bain, il m'a enlevé ma robe et mit à 4 pattes sur le plancher, puis baissant mon collant il mit rapidement les doigts en moi pour agiter les boules chinoises. Puis, lubrifia mon cul de ma mouille pour m'enculer. J'étais en plein délire avec les boules et sa bite en moi, quand j'ai vu les pieds de ma copine s'avancer vers moi. Elle se pencha pour me caresser le visage et lui demande de me mettre sur le dos. Il me reprit sur le dos et la regarda s'accroupir sur mon visage. Je lui léchais goulûment la chatte, lorsque je la sentis se contracter. Elle m'urinait au visage au plus grand plaisir de mon enculeur qui est venu presque instantanément. Alors, je me suis caressé violemment avec les boules en moi, en avalant le liquide de ma copine. Puis elle se leva me laissant seule au plancher le visage inondé et le corps en spasme. Lorsque que je repris mes esprits mon enculeur était à genoux léchant la chatte de ma copine. Je me levai sur mes genoux pour mieux voir la scène, je sentais l'urine coulée sur mon corps, le sperme de mon cul et les boules tombèrent de ma chatte souillée. D'un cri guttural, elle jouit. D'une vigueur retrouvée, il me gava la bouche de sa bite pour venir une seconde fois au fond de ma gorge.

    Il nous quitta lorsque nous étions sous la douche.

    1 commentaire
  • J'étais au Réservoir avec une amie, elle me comptait ces dernières péripéties avec son sugardaddy, qu'il l'avait plaqué. Elle était à la rue, elle songeait retourné chez ses parents encore une fois. C'est histoire m'ennuyait comme si elle m'avait été comptée des milliers de fois (c'est probablement le cas). Puis, mon cell. Sonne. Sauvé!. C'était un mec qui m'avait pas donné signe de vie depuis un temps. Il m'invitait chez lui là, maintenant. J'ai laissé les clés de mon loft à ma copine, et j'ai sauté dans un taxi.

    Arrivé à sa porte, il me prit l'oreille d'une main et me gifla de l'autre, comme il fait toujours pour me soumettre à sa volonté. Il tira à son salon me forçant à me coucher sur ses genoux. Il baissa mon jean pour exposer mon cul. Une fessée violente sans suit. Un peu brusqué, je me débattis légèrement. À chaque coup, je sentais mon excitation montée et le sien aussi. Lorsqu'il me jeta au sol, il m'ordonna de me mettre à 4 pattes, mes jeans à la cheville. Il se plaça devant moi et m'enleva mon t-shirt. Puis, il me gifla encore m'ordonnant de me caresser. Ce que je fis sans hésiter. Puis sentant mon désir, il baissa son pantalon pour se masturber d'une main et me pinça le sein de l'autre. J'étais en feu et il le savait.

    Il inséra sa bite dans ma bouche pour amorcer un va-et-vient aussi profond que violent. Après quelques coups, il est venu. J'ai peine à tout contenir et avaler, quelques goûts sont tombés. Sentant mon orgasme arrivé je me suis penché pour lécher la petite flaque au plancher. Je suis enflammé dans un tremblement intense.

    Il me leva aussitôt, me mit mon t-shirt et me donna mon manteau. J'ai eu à peine le temps de lever mon jean que j'étais dans la rue à chercher un taxi encore à moitié pétrifié de mon orgasme.

    De retour chez moi, ma copine avait déjà entamé les trois quarts d'une bouteille de vin (le mien!). Elle était juste en camisole sur le lit. En lui racontant ma baise, on s'est embrassé goulûment, comme si elle voulait goûter au sperme qui s'était logé dans ma bouche. Puis, elle porte ma bouche entre ses cuisses, à la moiteur j'avais compris qu'elle n'avait pas perdu son temps durant mon absence. Je pris plaisir à la porter à un deuxième orgasme. Puis, j'ai fini la bouteille avec ses doigts en moi.

    votre commentaire
  • Chez un voyeur de mon MSN

    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires